Merci ! Moi aussi j’aime bien ce genre d’ambiance. Pour la pénombre, effectivement c’était un problème : 1/60s, f/2.8 et 6400 ISO, j’étais à la limite pour une photo à main levée. J’avais le trépied mais c’était trop galère de le placer à cet endroit.
Ouch t’es pas équipé pour de l’urbex alors ! 😉
La magie du FF c’est la montée en ISO. J’ai déjà posté des photos prises à 12800 mais bon, là le traitement du bruit est trop hardcore.
Et le flash en Urbex, c’est hérétique ?
Bonne question…
En fait ça dépend du rendu que tu veux avoir. Personnellement, je préfère capturer la lumière telle qu’elle est, c’est pourquoi je préfère trimballer un trépied pour faire des poses longues tout en restant dans de faibles valeurs ISO. Avec le flash on peut aussi obtenir de bons résultats mais la lumière sera forcément artificielle donc on aura pas une « vraie » image du lieu.
En résumé, en urbex, il faut savoir imiter la lumière naturelle dans un milieu où il n’y en a naturellement pas. C’est compliqué. Par exemple, en photos sous-marine, les poissons ou les épaves sont éclairés dans des profondeurs auxquelles la lumière est naturellement absente. Ces photos paraissent pourtant naturelles, et l’esthétique de certaines fait l’unanimité… je pense qu’il n’y a pas de règles.
Je n’ai jamais dit qu’il y avait des règles, juste des choix de goût personnel. Il y a des artistes qui « s’amusent » à éclairer des lieux à leurs façons et c’est fantastique. Ce n’est pas mon approche. Je préfère retranscrire le lieu tel qu’il existe et tel que je l’ai vu. C’est parfois compliqué avec la dynamique réduite des appareils actuels mais bon, c’est comme ça que j’essaie de « travailler ».
Et autant mes 1ères séries d’urbex étaient traitées en HDR, aujourd’hui j’ai complètement abandonné ce style, il ne me plait plus du tout !
J’y vois 2 gnomes ! A l’envers !
Bravo ! 🙂
Je garde le gnome pour la dernière photo de la série, c’est-à-dire demain soir.
Génial. J’adore tout ces trucs « Verniens » un peu steampunk. Très bel éclairage, l’ami, dans la pénombre pas facile que j’imagine à cet endroit.
Merci ! Moi aussi j’aime bien ce genre d’ambiance. Pour la pénombre, effectivement c’était un problème : 1/60s, f/2.8 et 6400 ISO, j’étais à la limite pour une photo à main levée. J’avais le trépied mais c’était trop galère de le placer à cet endroit.
6400 iso 🙂 avec mon matos, je m’interdis d’aller au-dela de 800, sinon, ça bruite. 🙂
Ouch t’es pas équipé pour de l’urbex alors ! 😉
La magie du FF c’est la montée en ISO. J’ai déjà posté des photos prises à 12800 mais bon, là le traitement du bruit est trop hardcore.
Et le flash en Urbex, c’est hérétique ?
Bonne question…
En fait ça dépend du rendu que tu veux avoir. Personnellement, je préfère capturer la lumière telle qu’elle est, c’est pourquoi je préfère trimballer un trépied pour faire des poses longues tout en restant dans de faibles valeurs ISO. Avec le flash on peut aussi obtenir de bons résultats mais la lumière sera forcément artificielle donc on aura pas une « vraie » image du lieu.
En résumé, en urbex, il faut savoir imiter la lumière naturelle dans un milieu où il n’y en a naturellement pas. C’est compliqué. Par exemple, en photos sous-marine, les poissons ou les épaves sont éclairés dans des profondeurs auxquelles la lumière est naturellement absente. Ces photos paraissent pourtant naturelles, et l’esthétique de certaines fait l’unanimité… je pense qu’il n’y a pas de règles.
Je n’ai jamais dit qu’il y avait des règles, juste des choix de goût personnel. Il y a des artistes qui « s’amusent » à éclairer des lieux à leurs façons et c’est fantastique. Ce n’est pas mon approche. Je préfère retranscrire le lieu tel qu’il existe et tel que je l’ai vu. C’est parfois compliqué avec la dynamique réduite des appareils actuels mais bon, c’est comme ça que j’essaie de « travailler ».
Et autant mes 1ères séries d’urbex étaient traitées en HDR, aujourd’hui j’ai complètement abandonné ce style, il ne me plait plus du tout !
tres belle photo !
Merci beaucoup !
J’aime le côté « naufragé dans le passé »